Tout dirigeant d’entreprise le sait : la protection sociale des indépendants est des plus fragiles. Contrairement aux salariés qui cotisent via leur employeur auprès de la caisse d’assurance chômage, percevant des indemnités en cas de perte d’emploi, le régime du dirigeant d’entreprise ne prévoit aucune couverture de revenus lors d’une cession d’activité. C’est donc à lui de prévoir ses arrières en souscrivant à une assurance spécifique pouvant jouer ce rôle.
La garantie sociale du chef d’entreprise (GSC) constitue à ce jour le dispositif offrant aux entrepreneurs qui ne disposent pas de contrat de travail de pouvoir prétendre à une protection sociale. Sous couvert, toutefois, d'adhérer à une organisation patronale telle que la CPME.
Pour quel montant de couverture ?
Les indemnités GSC sont comprises, au choix, entre 55% et 70% du revenu fiscal du dirigeant. La durée d'indemnisation est fixée à 12 mois lors de la soucription. Passée la date du premier anniversaire, il est ensuite possible de prolonger la période de protection à 18 ou 24 mois. Le versement des indemnités prend fin au terme du contrat GSC, lorsque le chef d'entreprise retrouve un emploi ou bénéficie d'une pension d'invalidité ou de retraite.
La GSC pour qui ?
Comment souscrire ?
Les formalités sont très simples et rapides. Après avoir adhéré à la Cpme13, qui propose la cotisation GSC la plus accessible au niveau tarifaire, il suffit de prendre contact avec les services de la GSC ou avec votre assureur, qui se chargeront de vous transmettre un formulaire d'adhésion.
Pour adhérer à la Cpme13 : contactez notre chargé de développement, Emmanuel Campo : ecampo@cpme-13.fr / 07.62.77.76.63.
Pour en savoir plus sur l’assurance GSC et contacter l’association, consultez ce lien
Le 19/03/21